La puissance d’une question réside dans le fait qu’elle permet d’ouvrir le champ des possibles.
Une question peut tout changer en bousculant les automatismes dont nous sommes faits, en nous faisant entrevoir des conceptions nouvelles.
La question amène à changer de comportement, à ressentir les choses de manière différente, pour peu qu’elle soit orientée vers une recherche d’informations supérieures, notamment lors de situations compliquées.
Prenons comme simple exemple le cas où l’on retrouve sa voiture abimée.
Il y a deux types de questions que l’on peut se poser.
Le premier regroupe des questions basiques comme « qu’est-ce qui s’est passé ? » et « ce n’est vraiment pas le moment, pourquoi cela m’arrive-t-il aujourd’hui ? ».
Le second concerne des questions de plus haut niveau comme se demander ce que cette nouvelle situation problématique révèle d’important pour moi, ce qu’elle va me permettre de modifier, voire d’enrichir, chez moi.
Evidemment, ces dernières questions peuvent paraître de prime abord dérangeantes car je suis dans l’instant affecté par la situation, mais une fois posées, elles permettent de changer de plan, de tirer les choses vers le haut, de transformer sa perception des choses, ses sentiments, et par conséquent peut-être aussi ses actions par rapport à la situation.
Ce qui est important à comprendre c’est que le fait de se poser des questions positives au moment où ça va mal, va faire évoluer son système de perception, ses sentiments, son comportement, et ceci est une clef vers de nouvelles portes.
Alors grâce à la puissance des questions, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !
SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !
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