La procrastination, c’est remettre au lendemain ce que l’on peut faire le jour même.
Tout le monde y est confronté.
C’est rester focalisé sur ses désirs, sans passer à l’action.
Ce qui est important pour moi, c’est justement de trouver cette ressource qui fait qu’on passe à l’action.
Comment faire face à cette attitude ?
Tout d’abord, c’est d’abord une affaire de sentiments, de ressenti.
Au moment où l’on remet à plus tard ce que l’on peut faire immédiatement, il devient pertinent de s’interroger sur ce que l’on ressent, et pourquoi le ressent-on.
C’est alors le bon moment pour se demander si l’intérêt que l’on a à remettre son action à plus tard offre un intérêt plus important que de le faire tout de suite, et en quoi cela a plus d’importance.
Il faut enfin se demander ce que l’on va perdre si on n’agit pas tout de suite ?
Ce qui est donc important, c’est de voir au-delà de la tâche en elle-même, de découvrir les sentiments liés à cela, et d’analyser ce que ce report rapporte, et ce qu’il coûte.
En second lieu, il faut se forcer à ne pas attendre : estimer le temps qu’il faut pour résoudre la tâche, et s’y plonger immédiatement, en prenant pour motivation le gain d’énergie : en effet, moins l’on perd de temps à la reporter et reporter encore, et moins l’on dépense finalement d’énergie à sa réalisation.
Il s’agit donc de faire de cette procrastination une alerte qui me donne l’occasion à chaque fois de gagner en confort, comme un pompier présent pour répondre en cas d’alerte incendie.
Alors vis-à-vis de la procrastination, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !
SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !
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