La Programmation Neuro Linguistique, qui a animé une grande partie de ma vie, est un outil puissant de connaissance et de développement de soi, une approche principalement centrée sur l’analyse et l’observation de ce qui fonctionne dans le comportement humain dans un but de valorisation de l’être humain.

La PNL permet de faire découvrir comment fonctionne le cerveau, le système nerveux, et la manière dont on peut les utiliser au quotidien.

En fait, chacun fait de la PNL sans en avoir forcément conscience.

La puissance de cette approche fait qu’il est nécessaire de l’utiliser avec attention, et surtout dans une intention claire.

A son propos, le terme de manipulation revient régulièrement. La manipulation signifie d’abord travailler sur la forme en vue d’un résultat, comme, par exemple, apprendre à écouter différemment.

Travailler sur la forme, c’est être soucieux du but.
Pour illustrer cela, il suffit de constater que c’est déjà de la manipulation de donner à manger à un enfant en lui disant « c’est une cuillerée pour maman, une cuillerée pour papa ».

Aujourd’hui, nous sommes par ailleurs manipulés en permanence par un incroyable flot d’informations.

La PNL apporte la capacité à prendre du recul sur tout ce qui nous parvient, sur ce qui nous arrive, à être plus conscient de ses actes.

Elle donne les clés d’un recentrage sur les attitudes que nous avons au quotidien et sur leurs conséquences, et permet d’ajuster sa stratégie, afin de passer de l’échec à la réussite.

Alors avec les outils de la PNL, développez plus de VIGILANCE vis-à-vis de vos petites frustrations comme de vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

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C’est d’abord un sentiment profond du droit à exister à travers ce que nous sommes.

Cela rapporte à ce qui se passe, à la fois à l’intérieur de soi-même, dans la considération que l’on se porte, mais aussi sur l’action que l’on peut mener à l’égard de l’environnement.

Cela implique également une ouverture à l’égard de ce que l’environnement peut recevoir et renvoyer.

La Confiance

La Confiance conditionne la façon de voir les choses, les interpréter, les réaliser ou non.

C’est un capital. Il croît ou s’épuise selon le mode de communication avec les autres et soi-même.
La confiance est liée au regard que l’on porte sur soi et l’environnement.

Elle s’édifie dès la naissance et s’entretient jusqu’au dernier jour.

Absente ou réduite, elle mène à la défiance, la méfiance, à une difficulté de décision et d’action.

Présente, elle favorise la mise en action, la prise de décision ; elle évite la procrastination. La prise de risque est facilitée en face de l’inconnu, de l’incertitude.

Sa construction est complexe. Ses ingrédients, toutes les expériences vécues et leurs conséquences.

Les jugements de valeur, souvent négatifs, sont inconditionnels ; ils entament la confiance en soi.

Les jugements de faits, conditionnels, permettent sa progression. Ils l’aident à s’ériger et à grandir.

L’auto-valorisation, élément capital de l’estime de soi, joue un rôle primordial. Il y toujours un domaine dans lequel on est bon, il suffit de le trouver et de s’y attarder.

La confiance attire la confiance.
Quand j’ai confiance en moi, les autres ont confiance en moi. Et inversement.

Se centrer sur les choses positives de ce monde facilite le processus.

« Comparaison n’est pas raison ». Ne me comparer qu’à des gens « meilleurs » que moi peut affaiblir la Confiance. Donc « Méfiance » !

La peur, acceptée et dépassée, les enjeux assumés, alors vient la confiance.

Elle permet la mise en œuvre, le premier pas sans lequel rien de grand n’est possible.

Alors pour développer votre confiance en vous, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

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L’entreprenariat est une notion qui ne se limite pas au côté professionnel : c’est bien sûr construire son avenir professionnellement, mais également construire sa vie personnelle.

Nous sommes tous en ce sens des entrepreneurs nés, car nous entreprenons tous les jours, dans de multiples domaines comme le sport, la cuisine, les arts, les relations, etc.

Dans l’entreprenariat, on retrouve une notion d’aventure, qui nous permet d’exister à travers ce que nous sommes au plus profond de nous-même : entreprendre, c’est en quelque sorte être un aventurier artiste de sa propre expression, c’est aussi apporter au monde ce qui fait notre différence.

Celui ou celle qui se lance dans l’entreprenariat se retrouve confronté à des difficultés, car à partir du moment où il s’agit de quelque chose de nouveau, on se frotte à des situations inconnues, et il faut apprendre à, par exemple, gérer des environnements, des contraintes, jusqu’alors jamais abordées.

Cela nécessite beaucoup d’énergie au départ parce que l’environnement et les obstacles freinent le nouvel entrepreneur dans son élan.

Celui-ci doit accepter l’idée d’aller plus loin, d’évoluer, d’interagir dans une dimension plus large. Il découvre alors l’ouverture à de nouveaux territoires, et éprouve le sentiment de grandir de marche en marche, professionnellement comme dans d’autres domaines.

L’entreprenariat est pour moi quelque chose d’extraordinaire et je vous invite à tenter cette aventure quel que soit le domaine.

Alors pour entreprendre, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

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Pour avoir grandi dans les années 60 dans une communauté, j’ai été fortement marqué par la divergence de personnes, de potentiels, de sensibilité, de cultures qui existe entre les êtres humains, ce qui à l’évidence est une richesse pour s’ouvrir aux différences.

Bien souvent, la première réaction face à la différence est d’éprouver un sentiment d’insécurité. Ce qui ne nous ressemble pas et ne fonctionne pas comme soi fait peur de prime abord.

Pour s’ouvrir à la différence, il faut du respect pour autrui, posséder soi-même des valeurs et prendre en considération les valeurs des autres. Il est nécessaire d’accepter ce qui n’est pas une référence pour soi, et tout ceci n’est pas une chose aisée si l’on se trouve dans un sentiment d’insécurité.

En grandissant en confiance, on gagne en sécurité intérieure : il est alors plus facile de s’ouvrir à la différence, ce qui nous apporte comme un moulin un regain de confiance.

Cette notion d’ouverture à la différence est ce qui nous fait le plus évoluer.

La richesse de ce monde passe par l’ouverture à nos différences et à notre capacité à nous entendre pour autant que l’on partage un socle de valeurs en termes de finalités communes, souvent présentes même si elles ne sont pas évidentes à déceler à première vue.

Alors en ce qui concerne l’ouverture à la différence, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

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Une question qui revient régulièrement en formation lorsque l’on aborde les outils de développement de soi, de relation, de gestion des émotions, est : « que reste-t-il finalement de l’authenticité si on cherche à tout contrôler par le biais de ces outils ? »

En fait, il ne s’agit pas de rechercher un contrôle absolu sur soi à travers ces outils, mais plutôt de parvenir à une dimension de liberté plus importante passant par la conscience des choix possibles.

Il semble important de différencier deux choses.

Tout d’abord, il y a l’authenticité de ce que l’on vit intérieurement et que l’on a envie de communiquer à l’autre : par exemple, il ne faut pas hésiter à dire non si c’est ce que l’on souhaite au fond de soi, et, deuxièmement, il y a la manière de dire les choses.

Je ne pense pas que l’on perde son authenticité en travaillant sur la manière de s’exprimer, mais, bien au contraire, qu’on la révèle.

En effet, se retenir, ou manquer de qualité d’expression dans la forme, ne permet pas à mon sens d’exprimer véritablement son authenticité.

A contrario, l’acquisition d’outils d’évolution personnelle, que ce soit pour écouter davantage son interlocuteur, pour poser de meilleures questions, pour travailler la forme de sa communication, pour mieux gérer ses émotions, pour apprendre à mieux fixer ses objectifs, va permettre d’exprimer très librement ce qu’on possède à l’intérieur de soi, sans trahir aucunement son authenticité.

Le point important est qu’il est primordial d’être attentif aux conséquences que peuvent avoir ses paroles, car tout peut se dire mais pas de n’importe quelle manière.

Alors concernant votre authenticité, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

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L’apprentissage est la voie de la croissance, de l’excellence, de l’évolution, du succès.

L’apprentissage, c’est à la fois avoir la faculté d’analyser ce que nous faisons, de l’évaluer afin de le développer et s’enrichir en permanence de ce que l’on peut voir et entendre, ressentir, le fait de découvrir de nouveaux mondes.

Voici ce qui se joue au travers du processus de l’apprentissage.
Dans un premier temps, on est d’abord inconsciemment incompétent. Autour des connaissances que je possède actuellement, autour de ce que je perçois, il y a énormément de choses que je ne sais pas, un monde bien plus vaste, et dont je n’ai même pas conscience.

Ensuite, un jour, à travers un livre, une vidéo, ou une personne, il y a la prise de conscience de cette incompétence, la découverte du fait qu’il y a des choses sur lesquelles on pourrait aller plus loin. C’est une phase transitoire où le danger est de se dévaloriser et donc de reculer.

C’est à partir de ce moment que l’on peut grandir, découvrir ce qu’on peut faire en plus, ce qu’on peut développer, faire de différent demain.

Au cours de la phase suivante, on acquière une nouvelle pratique, une nouvelle connaissance, une nouvelle sensibilité, et on obtient par-là de nouveaux résultats.

C’est un moment de l’apprentissage qui peut être difficile et il faut parfois s’accrocher pour y parvenir. Il faut ensuite porter de l’attention au fait de reproduire ce nouveau savoir, pour ne pas revenir sur l’ancien schéma, jusqu’au moment où la nouvelle façon de faire sera automatisée, où ce nouveau réflexe ou nouveau comportement se sera installé.

On devient ainsi consciemment compétent de ce que l’on fait désormais de différent.

Puisqu’on a commencé à grimper à l’escalier de l’apprentissage, on peut désormais poursuivre l’ascension, et s’interroger sur ce que l’on fait bien, et sur ce que l’on peut encore améliorer.

En prenant du recul pour observer de l’extérieur sa manière de communiquer, de travailler, d’aimer, de manger, ou autre, on s’ouvre de nouveaux horizons.

Alors pour tirer un maximum de vos apprentissages, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

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Nous sommes perpétuellement animés de l’intérieur par ce besoin de confort qui fait que nous aimons créer des habitudes. Nous reproduisons les mêmes rituels, au lever, au coucher, nous suivons souvent les mêmes trajets, et reprenons les mêmes plats dans les mêmes restaurants.

Il faut arrêter d’être toujours dans la répétition.
Je vous invite donc à casser ces habitudes, par exemple en modifiant de temps à autre votre alimentation, en changeant de style de vêtements de temps en temps, en suivant un autre trajet pour vous rendre au travail, à voir d’autres relations, pourquoi pas à modifier l’orientation de votre bureau, …

En effet, le changement d’habitudes nous ouvre un lot de perspectives auxquelles on n’avait pas songé. C’est une dynamique à développer au quotidien, et, par expérience personnelle, elle apporte un enrichissement permanent.

C’est cet enrichissement qui justifie le fait de changer ses habitudes, de rester attentif à ce que l’on pourrait faire de différent pour, au final, profiter de manière différente de la vie.

Alors vis-à-vis du changement d’habitude, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

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Le management, c’est s’engager, prendre une responsabilité, individuellement ou collectivement car bien sûr on peut se manager soi-même, ou manager les autres.

On peut définir trois dimensions dans le management.

Avant tout, il faut définir quelle est la mission, l’objectif et s’assurer que les gestes de bases nécessaires pour l’atteindre sont acquis, que j’ai ou que l’équipe possède les moyens de remplir sa mission, donc de s’assurer de la maîtrise du métier de base.

La seconde dimension du management est la capacité à prendre du recul sur ce que l’on réalise pour définir ce qu’il est possible d’améliorer, individuellement et collectivement. Cette quête d’amélioration d’ordre pédagogique permet d’optimiser la performance, en obtenant plus de résultats à travers moins de gestes, induisant une économie de coût.

Enfin, la troisième dimension est la prise en considération de ce que les gens vivent et ressentent face à leur tâche, à leur action. Un bon manager est à l’écoute des frustrations, pour pouvoir les corriger et faire naître la satisfaction, et porte son attention sur les sentiments des personnes face à leur tâche. Cela lui permet de prendre en compte les différences de chacun, de gérer au mieux la somme des différences pour l’enrichissement de l’ensemble.

L’écoute, la reconnaissance vis-à-vis de soi-même ou vis-à-vis des autres et la sensibilité à la médiation du manager forment ainsi un point essentiel.

Alors dans le cadre du management, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

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Le stress est une tension à l’intérieur de soi, qui nous contracte, qui nous angoisse parfois. Le stress nous fait réagir, et est en fait une alerte sur le fait qu’il existe un décalage entre la situation extérieure et ce qui se passe à l’intérieur de l’être.

Il y a deux manières d’interagir avec ce décalage.

La première est d’adopter une attitude défensive ou de fuite, de s’en plaindre, et c’est ce qui se passe quand on émet le genre de phrases comme : « ce n’est pas possible », « c’est toujours sur moi que ça tombe », etc.

La seconde est de transformer ce stress en quelque chose de riche.

Pourquoi vouloir transformer le stress ?
Il est nécessaire de prendre en compte l’alerte reçue, sinon on apprend à vivre régulièrement avec l’élément stressant. Cela entraine alors des tensions de plus en plus fortes, parfois même inconscientes, qui ont ou auront des conséquences sur la qualité de vie.

Comment changer le stress ?
Pour transformer ce stress en quelque chose de positif, il faut être à l’écoute, et ressentir ces sources de stress. Ensuite, il est essentiel de se demander ce que l’on doit changer.

Si une relation ou un job ne conviennent plus, quelles sont les modifications à apporter pour rétablir la situation ?

Il est donc important de prendre des responsabilités, et ne pas cantonner le problème à l’extérieur, car c’est à l’intérieur de soi que tout se joue.

Après une journée bien remplie, si les choses se sont déroulées comme désirées, on se sent porté d’énergie et détendu, alors qu’après une journée même moins active où les choses ne se sont pas passées comme souhaitées, on ressent le stress, car il y a des tensions qui se créent.

Dans ce cas-là, vous pouvez changer d’attitude face au stress : plutôt que de s’en plaindre, il est nécessaire d’identifier ce qui a été important pour soi mais qui n’a pas été satisfait.

Alors face au stress, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

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Le leadership, ou être un leader, est une notion qui réunit plusieurs éléments.
Ca consiste d’abord être porteur de quelque chose qui au fond anime notre âme de leader, une sensibilité particulière, une forme spéciale de créativité, une idée forte, quelque chose qui nous dépasse et qui nous semble essentielle à transmettre.

Tout leader inspirant est porté par des valeurs, par une vision, par un avenir, quelque chose de supérieur à la circonstance. Il sait mobiliser une énergie qui va donner envie aux autres de le suivre.

Grâce à cette énergie, il est en mesure de développer une attitude, une dicipline ou un ensemble de comportements en adéquation avec ce à quoi il aspire dans son futur, quelque chose qui réponde à une cause ou une finalité pour lui ou pour le monde.

Cette capacité du leader à être au contact de ce qui l’anime et à faire passer clairement son message lui permet de trouver la confiance, l’énergie, le potentiel de créativité pour le passage à l’action qui caractérise également le leadership.

Cette forme d’énergie lui permet aussi de gérer au mieux les interactions avec autrui, de s’ouvrir à des gens différents et d’analyser la meilleure façon d’interagir avec eux pour construire positivement.

Attention, un leader peut aussi être du genre dominant, faisant passer ses idées en force, imposant ses principes et ses règles et pouvant aller jusqu’à vouloir contrôler autrui pour son propre bénéfice.

Tout un chacun peut devenir un leader inspirant à partir du moment où il a clarifié ce pourquoi il se sent vivre.

C’est un sentiment fabuleux que de se sentir leader d’une cause qui nous anime.

Un nombre incroyable de difficultés se transforme alors en challenges, des ressources incroyables se révèlent que se soit dans la manière de communiquer avec soi, avec les autres et le monde, que ce soit dans sa façon d’agir et d’exister, ou même encore dans la confiance et l’estime que nous portons alors à nous-même et à ceux qui nous entourent.

Alors face au leadership, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

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