Les croyances, c’est d’abord un sentiment qui s’est construit à partir d’expériences que j’ai vécu.

Par exemple si j’ai été dans un bon restaurant où j’ai été bien accueilli, je vais avoir un sentiment positif et donc une croyance, à savoir que c’est un bon restaurant pour aller manger.

Si j’ai vécu des moments difficiles parce que je n’arrive pas à apprendre l’anglais, parce que je n’ai pas réussi à voyager, je vais développer des sentiments plus difficiles, plus lourds ; et ce sera le socle de croyances de type : « ce n’est pas fait pour moi, je n’y arriverai pas ».

C’est là que le bât blesse parce que quand on construit des réalités sur des sentiments négatifs et qu’on défend ces réalités émotionnellement, parce que c’est notre réalité intérieure.

Et là, le risque est de construire notre vie autour de ça, on va développer la conscience de ce qui est important pour nous en fonction de ces croyances négatives.

Si vous avez des sentiments négatifs à l’égard du voyage, de l’anglais, des mathématiques, vous n’allez pas mettre de l’énergie là-dessus.

A l’inverse si vous avez un super prof sur une matière, parce que vous avez vécu des moments extraordinaires, vous allez attacher de l’importance à cette matière et découvrir des choses fabuleuses.

Et en fonction de ces valeurs et de ces croyances, vous allez mettre en place des comportements ; il y’a des choses que vous allez accepter de faire ou de ne pas faire, des règles que vous allez vous donner ou ne pas vous donner.

Si vous avez conscience que c’est important d’équilibrer votre vie professionnelle et familiale ; non seulement c’est important parce que vous en avez conscience, mais en plus vous allez faire ce qu’il faut pour pouvoir donner cette priorité.

Mais si vous n’avez pas conscience que c’est important, vous allez mettre la priorité ailleurs et donc développer des comportements différents.

Les croyances sont importantes à la fois sur l’identité- ce que vous êtes, ce que vous ressentez, ce qui est important ; et à la fois sur les règles- sur ce qu’il possible de faire ou de ne pas faire, sur le fait que vous pensez que vous ayez ou non les moyens.

Ainsi vous allez découvrir que votre vie est entièrement organisée autour de ce système de croyances.

C’est pourquoi il est important de s’y arrêter et de s’interroger sur là où vous en êtes car il est fort possible que votre système de croyances soit en équilibre avec le niveau de vie dans lequel vous êtes, que ce soit au niveau des relations que vous avez, le temps que vous avez, l’argent que vous avez.

Et il peut être intéressant de vous ouvrir sur d’autres systèmes de croyances, d’autres perceptions, d’autres possibles.

Alors vis-à-vis des croyances, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

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Contribuer.

On peut vivre beaucoup de choses au cours d’une vie, mais le sentiment de savoir à quoi et pour qui j’ai été utile est sans doute qu’il y’a de plus satisfaisant pour un être humain. Le sentiment de contribuer nourrit, cette impression d’être utile.

Chacun peut agir pour les autres et ainsi contribuer au développement de ses proches, de sa communauté, de son environnemet. Qu’il le face d’une manière légère ou plus importante, s’engager à faire du bien, c’est probablement la voie d’accomplissement la plus gratifiante.

On peut s’engager à faire du bien, à nourrir des causes, des personnes, à agir dans cette dimension de don ; et puis qu’importe le retour qu’on ait car l’important c’est d’avoir le sentiment d’être porté parce qu’on sent qu’on fait quelque chose de juste.

Je dis parfois que vivre selon ses aspirations c’est important parce que c’est ce qu’il y’a de plus puissant.

Avec la contribution, on a le sentiment de gagner deux fois : une fois parce qu’on est nourri par ce qu’on fait, et une 2ème fois parce qu’on sent que ce à quoi on a participé nourrit d’autres personnes.

Imaginez qu’on passe un peu plus de temps à contribuer à la qualité de vie de son voisin, de ses collaborateurs, de sa famille, de ses amis. On le fait bien sûr mais on peut relever ces moments de façon plus consciente pour renforcer cette dimension de contribution.

Comment vous vous y prenez pour augmenter votre sentiment de contribution ?

Alors pour contribuer à votre développement, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

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La culpabilité est le mal du siècle.

Quand vous êtes dans un processus de culpabilisation, vous avez une voix qui vient vous condamner intérieurement.

Et c’est blessant parce que ça vous met dans une posture de victimisation. Et vous prenez alors des malus qui vont vous tirer vers le bas.

Quand je suis en posture de victimisation, j’ai besoin d’une bouée de sauvetage, cette autre partie de moi qui va m’amener à faire des choses qui sont mauvaises pour moi sur le long terme mais bonnes pour moi dans l’immédiat, comme prendre du dessert avec excès pour nourrir ce vide intérieur qui est la conséquence de ce processus de culpabilisation.

Le plus important n’est pas de se culpabiliser mais de se reconnaitre dans le besoin, le désir, l’envie que nous avions à ce moment-là et de se demander : qu’est-ce que je peux faire pour nourrir ce désir ?

C’est cette considération pour ce que l’on vit, pour ce dont on a envie ; si au lieu d’être dans le côté condamnant, je se demande ce que je peux faire concrètement pour évoluer sur un plan, alors je touche plus de puissance personnelle.

Alors pour sortir de la culpabilité, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

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Le sommeil.

Si on veut avoir une vie remplie, il faut permettre à son corps de récupérer, prendre le temps d’inverser la machine pour que chacune des parties de nous-même prenne le temps d’éliminer ce qu’elle a à éliminer, de se régénérer.

Le sommeil est un retour vers soi-même.

Au moment du sommeil, vous disparaissez dans votre monde intérieur, dans vos rêves ; et dans cette profondeur, il y’a ce moment où tout s’arrête, où il se passe parfois des choses incroyables car nous digérons les aventures de la journée, où germent des idées pour le futur.

Le sommeil est quelque chose qu’il est important de soigner si vous voulez plus d’énergie dans votre vie.

Ça commence par l’environnement dans lequel vous dormez.

Veiller à éviter toutes les sources de lumière, de son, d’appareils technologiques, de vous mettre dans une disposition d’accueil du sommeil avec le plaisir d’y aller et d’y aller le cœur léger et le ventre léger !

Plus vous prendrez soin de votre sommeil, plus votre corps prendra soin de vous et vous donnera une qualité d’énergie disponible dans votre journée.

Alors pour bien dormir, VIGILANCE à vos petites frustrations dans ce domaine comme à vos grandes !

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Le spectre émotionnel

L’émotion, c’est ce qui anime le plus ma vie.

Quand j’approfondis cette dimension, je me rends compte que l’on a appareillage fabuleux qui nous permet de nous situer.

C’est un peu comme un GPS : en fonction de ce que je vis, de ce que je ressens, je vais pouvoir interagir avec mon environnement de façon appropriée.

Parfois, ce sont plutôt des frustrations, parfois ce sont des satisfactions.

J’évolue sur 2 plans, un plan d’intensité- je peux être en haute énergie ou en basse énergie ; et un plan de satisfaction- je peux être satisfait ou insatisfait.

Je peux être insatisfait en énergie basse, auquel cas je serai plutôt dans la crainte, dans l’angoisse ; ou en énergie haute, auquel cas je serai plutôt dans la colère.

De même, je peux être satisfait en énergie basse, auquel cas je serai dans un sentiment de paix, de sérénité ; ou en énergie haute, auquel cas je serai plutôt dans la joie, l’enthousiasme.

Le fait de découvrir ce spectre permet d’avoir un indicateur pour savoir où j’en suis.

Dans la haute énergie négative, je vais trouver à un niveau léger de la frustration, si ça augmente de la colère, voire la haine ou la rage.

Dans l’énergie basse négative, je vais avoir un sentiment de blues, qui peut aller dans la déprime voire la dépression.

Dans l’énergie basse positive, je serai plutôt dans le calme, la détente, la zénitude.

Dans l’énergie haute, je serai plutôt dans la curiosité, la joie, l’enthousiasme, la passion.

Et puis on s’établit dans des habitudes et on peut rester ou développer l’aptitude à rester dans un monde plutôt que dans un autre.

Ce qui est intéressant, c’est de découvrir ce spectre, un peu comme des goûts, des parfums et donne à ma vie une dimension plus intense !

Alors pour développer plus de sensibilité vis-à-vis de votre spectre émotionnel, VIGILANCE à vos petites frustrations de la vie comme à vos grandes !

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La santé, c’est prendre soin de soi, de sa santé physique, énergétique, mentale, spirituelle.

Par prendre soin, j’entends être attentif à ses besoins, ce qu’on a besoin de vivre, de partager, de goûter chaque jour.

C’est cette attention particulière qu’on va se porter à soi-même et aux autres.

Tout repose sur cet être physique que je suis : j’ai besoin d’énergie pour avancer, pour interagir avec le monde de manière différente, pour faire face à des situations compliquées, pour résister à des attaques de tout ordre.

Cette notion de santé est essentielle et permet d’avancer loin et d’avancer chaque jour avec plus d’énergie et donc de meilleurs comportements et de meilleurs résultats.

Dans cette notion de santé, la priorité c’est de faire attention à la manière dont je respire, la manière dont je me porte, dont je me tiens, dont je bois de l’eau chaque jour, dont je mange.

C’est aussi le mouvement, être attentif au fait de prendre les escaliers de temps en temps, de bouger tous les jours.

C’est aussi être attentif à l’environnement dans lequel je me trouve et prendre soin de cet environnement, de l’apprécier.

Et puis il y’a la santé mentale, être attentif à mon vocabulaire, à mes pensées, au fait de me nourrir de projets.

C’est toutes ces choses mises bout à bout qui font que l’on cultive sa santé.

Alors pour plus de santé, VIGILANCE à vos petites frustrations dans ce domaine comme à vos grandes !

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La Loi de l’Attraction
Cette inspiration se limite à la Loi de l’Attraction vue sous l’angle de son rapport avec la puissance de la pensée. Le Karma nous dit : « Nous récoltons ce que nous semons ». Si nous semons de la colère, de la haine, de la tristesse ou de la culpabilité, que récolterons-nous ? Si nous semons, au contraire, de la joie, de la gratitude, de l’enthousiasme, nous ne récolterons pas le même type de vibrations. Ce faisant, le processus consiste à se mettre sur un plan énergétique différent, sur un niveau vibratoire d’une autre qualité.

Une pensée comprend diverses caractéristiques. Elle peut être profonde, superficielle, créative, répétitive, intéressante, ennuyeuse, anodine, importante. Lorsqu’un comportement n’est pas encore automatisé et que la nature de la pensée pleinement consciente possède une influence sur ce comportement, nous jouons alors un rôle très important. En effet, il nous suffit de penser négativement pour générer des sentiments négatifs, eux-mêmes tout à fait propices à des conséquences négatives. Notre pensée attire alors des sentiments qui, à leur tour, attirent des comportements qui, eux-mêmes, attirent des conséquences négatives. Ces attractions sont difficilement contournables. Excellente nouvelle : le fonctionnement est rigoureusement identique lorsqu’il s’agit de pensées positives. La Loi de l’Attraction nous dit : « Si nous orientons nos pensées sur ce que nous ne voulons pas, nous allons l’obtenir, si nous les orientons sur ce que nous voulons, nous allons l’obtenir aussi ». La loi de l’attraction est en lien direct avec nos croyances. Si nous pensons très fort que nous allons échouer, et que cette pensée se renforce régulièrement au point qu’on finit par y croire, nous avons, avec une grande compétence, construit une croyance.

Dans ce cas, nous sommes des orfèvres dans l’édification de notre échec et nous exerçons une grande attraction sur lui. A contrario, même si le résultat n’est pas absolument garanti car ce n’est pas de la magie, la pensée orientée sur la réussite va plutôt attirer des sentiments positifs dans lesquels l’accès à nos ressources sera beaucoup plus simple, donc la réussite plus à notre portée. La nature de cette croyance est nettement plus bénéfique. Lorsqu’on prend une grande décision, il arrive fréquemment que, surprise, beaucoup d’éléments se mettent soudain à concourir à la construction et à la réussite de notre projet. C’est comme une énergie qui nous dépasse, une soudaine vibration qui englobe l’univers et sur laquelle nous n’avons pas de prise. Comme si nous étions connectés à quelque chose de beaucoup plus vaste que nous, et qui nous apporte, sur un plateau, ce dont nous avions vraiment besoin et que nous n’avions même pas demandé autrement que par une pensée déterminée. C’est l’état d’esprit qui nous anime qui fait donc la différence.

La loi de l’attraction permet d’attirer vers nous ce que nous voulons vraiment, et de subir de moins en moins ce qui entrave notre évolution.
VIGILANCE ! La nature de nos pensées peut être de notre responsabilité, si nous voulons de la réussite, sachons ce qui nous reste à faire.

Alors VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

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L’énergie est une notion fondamentale, elle est à l’origine de tout.

Il y a plusieurs niveaux d’énergie :

• à commencer par l’énergie physique, qui nous entraine dans des actions,
• l’énergie au niveau de notre système énergétique, qui circule entre nous et notre environnement,
• l’énergie au niveau émotionnel, représentée par la palette de nos émotions positives ou négatives,
• l’énergie d’ordre mental, présente dans l’attention qu’on peut porter sur nos pensées, notre manière de fonctionner,
• l’énergie qui nous relie à quelque chose de plus vaste, cette énergie spirituelle, notre relation au monde, à notre vie, à notre éternité, à toutes ces choses qui nous entourent et qui sont plus ou moins subtiles en fonction de notre niveau de conscience, notre parcours, notre évolution.

Il est très important de porter de l’attention à cette notion d’énergie à tout ces niveaux, non seulement pour pouvoir se défendre des attaques, que se soit de simple microbes, des évènements de la vie + / – difficile ou encore des gens qui parfois nous agressent, ou de toutes autres difficultés rencontrées, mais plus encore pour se positionner dans la vie, pour créer, entreprendre, se développer et agir avec dynamisme, souplesse et finesse dans ce monde.

Lorsque nous soignons cette énergie, c’est tout notre « rapport » au monde change, expérimentez-le !

Alors VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

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Nos Habitudes…

Notre système nerveux ainsi que notre cerveau aiment refaire et reproduire ce que nous connaissons, car c’est naturellement beaucoup plus confortable d’aller vers les gens que l’on connaît, d’acheter toujours les mêmes produits, de suivre les mêmes habitudes le matin ou le soir, de se créer et de suivre nos rituels.

Le changement d’habitudes est intéressant car il représente l’ouverture à de nouveaux territoires, de nouvelles perceptions, de nouveaux comportements, de nouvelles relations.

Pour casser ses habitudes, il suffit de varier dès qu’il y en a l’occasion.

Par exemple, acheter de la nourriture différente, s’habiller, s’exprimer différemment, changer de parcours pour se rendre au travail ou quand on fait son jogging, plus globalement de faire différemment ce que l’on fera demain par rapport à ce que l’on a fait hier.

De cette manière, notre palette de possibilités s’élargit. Cela permet de s’apercevoir de la foule d’autres choses que l’on n’avait pas forcément vu, entendu ou ressenti.

On ne sait jamais quand une bonne idée va nous traverser l’esprit.

Je pense que le changement d’habitude est un véritable exercice à faire régulièrement.

Cela m’a beaucoup apporté de casser les rythmes, de casser les rituels habituels, de simplement « faire du nouveau ».

Alors en terme de changement d’habitude, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

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A mon sens, le talent se construit dès notre plus jeune âge, et est en partie lié à ce qui nous a fait vibrer enfant, quelque chose à travers laquelle on s’est retrouvé.

Le talent est donc inscrit en nous et nous anime au plus profond de nous-même.

De ce fait, nous développons une grande facilité, une intelligence pour avoir envie de se développer dans ce domaine.

C’est en utilisant son talent qu’une personne est en mesure d’évoluer rapidement, ce qui revient à dépenser peu d’énergie pour obtenir de larges résultats.

Bien entendu, le talent n’empêche aucunement le travail. Le travail est absolument nécessaire pour véritablement faire éclore le talent qui est en nous, le faire murir, puis rayonner dans notre environnement.

Il reste important de se mettre dans cette mécanique d’évolution, de succès, à travers cette capacité à s’arrêter, analyser ses points forts et ses points faibles, pour les améliorer et puis travailler et travailler encore pour fructifier son talent.

Alors pour développer votre talent, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

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